Menu
Avoir une entreprise fiable comme partenaire s’avère particulièrement utile dans une situation où tout ne se passe pas comme prévu. Nous ne sommes pas obligés de nous lancer dans une situation extrême - un accident de la route non désiré, dans lequel la compagnie d'assurance réduira votre prime d'assurance, mais nous pouvons également commencer par un contrôle routier normal de la police, à partir duquel vous ne pourrez plus continuer. .
Étant donné que tout transport de personnes payant vers 9 villes est un service de taxi selon la loi slovaque, en cas d'accident non désiré, la compagnie d'assurance réduira le paiement de l'assurance pour tous les participants. En outre, il peut réclamer une pénalité à l'encontre du preneur d'assurance pour utilisation inappropriée du véhicule.
La raison pour laquelle les entreprises de transport n’immatriculent pas leurs véhicules dans leurs concessions est principalement le prix de la prime d’assurance. Pour les taxis, ce montant est généralement augmenté de 50-100% par rapport à l'assurance normale.
Il n'y a pas si longtemps, l'aéroport de Vienne a été inspecté par la police en même temps que le "zoll", destiné principalement aux chauffeurs de taxi et aux chauffeurs slovaques. Certains d’entre eux ont réussi à s’informer et ont quitté l’aéroport par une autre sortie, mais d’autres n’ont pas échappé à ce contrôle. Outre les amendes élevées, les véhicules saisis sont restés après ce contrôle.
La raison de ces contrôles est principalement que l'entité slovaque ne peut emmener le client qu'en cas de transport transfrontalier - elle ne peut pas le récupérer sur le territoire de l'Autriche, mais uniquement en Slovaquie. Seule une entité autrichienne titulaire d'une concession ou une entité slovaque titulaire d'un permis du ministère fédéral autrichien des Transports peut récupérer un client en Autriche.
L'un des documents qu'un chauffeur de taxi doit avoir avec lui est un document d'aptitude médicale, ainsi qu'un document d'aptitude mentale. S'il ne l'a pas avec lui, le permis de conduire est invalide et le policier a le droit de le retenir et de lui interdire de conduire, dont il sera informé, qui lui sera restitué après preuve de compétence.
Le véhicule du service de taxi doit également être soumis à un contrôle technique dans l'année suivant sa première immatriculation, puis périodiquement à intervalles d'un an, il en va de même pour le contrôle des émissions. En cas de non-exécution d'un tel contrôle dans le délai imparti, le policier a le droit de retenir le certificat d'immatriculation et/ou la plaque avec le numéro d'immatriculation.
Vous pouvez vérifier gratuitement votre futur partenaire de transport personnel sur les portails jscd . Après avoir saisi la raison sociale ou le numéro d'identification de l'entreprise, le numéro, la validité de la concession et le nombre de véhicules avec lesquels l'entreprise exploite un service de taxi seront affichés. En plus du permis, vous pouvez également vérifier le chauffeur ou le véhicule du service de taxi.
La principale raison réside bien entendu dans les économies de coûts. Une économie annuelle d'environ 1 500 € est réalisée sur un seul véhicule sur l'assurance. Ce montant s'applique au modèle classe E, pour un monospace classe V ou une limousine classe S, ce montant peut aller de 3 000 € à 10 000 €, si l'entreprise possède plus de véhicules de ce type, cela en vaut déjà la peine. Une telle entreprise peut en outre économiser sur les émissions, le contrôle technique et divers autres frais, qui n'atteignent cependant pas le montant, comme c'est le cas pour l'assurance.
Ils s'appuient principalement sur le fait que, à moins que les véhicules ne soient marqués comme véhicules de service de taxi, personne ne les contrôlera. Cependant, le service de taxi illégal en relation avec ce qui précède peut avoir des conséquences bien pires que la simple détention des plaques EČV ou du permis de conduire.
Cliquez pour voir comment nous prenons soin de l'environnement